Première Partie: Les 5 premiers moyens
1- Chaque jour je m’émerveille de moi.
Je suis comme un locataire d’un appartement qui ne lui appartient pas. J’ai la liberté de mouvement, la liberté de penser, de ressentir. Je ne suis pas en prison, mon pays n’est pas en guerre. Je ne suis pas handicapé, je m’émerveille de la santé qui est en moi. Ma santé s’améliore chaque jour, Dieu est la santé parfaite. Il me ravive, je respire. Je passe la nuit entière à dormir en paix dans un profond sommeil. Dieu me revigore, il me ressource. Merci Seigneur. Je prends conscience de tout ce que j’ai aujourd’hui: liberté, santé… Je sais me reposer, me distraire. J’ai de l’argent, j’ai ce qu’il faut pour bien vivre. Je respecte la liberté des autres. Aujourd’hui j’ai de l’eau, l’électricité, les moyens de conforts. Je bénis tous ceux qui contribuent à mon bien être. Merci mon Dieu, Je suis reconnaissant.
2- Je regarde tout comme un enfant.
Je regarde tout comme un enfant qui s’émerveille de la moindre chose: Colonne de fourmis en marche, petit oiseau, araignées, coquilles vides, un bout de fil…. J’adopte donc un regard neuf en permanence.
3- Je me souviens chaque jour de tout ce que je dois aux autres.
Je me souviens chaque jour de tout ce que je dois aux autres: ceux qui m’ont éduqué (parents, enseignants, amis….) mais aussi des autres. Je les remercie, je remercie tous ceux qui ont contribué et continuent de contribuer à ma vie quotidienne. La chaise, la cuillère, la papier, le bic, la radio, la télévision, les cultures vivrières, la voiture ou la moto que je conduis…..ont été produits, fabriqués et/ou confectionnés par beaucoup d’autres individus. Je bénis tous ceux qui ont travaillé pour tout ce que je vois autour de moi. Je m’en émerveille.
4- Je suis reconnaissant de tout et pour tout.
J’ai connu des chutes dans ma vie, j’ai connu des succès. Je rends grâce à Dieu pour tout. J’en suis reconnaissant.
5- Je stoppe immédiatement, aussitôt toutes pensées et phrases négatives et les remplace par des pensées et phrases positives.
Je ne prononce pas les phrases telles que: Je suis à bout de force, je suis con, je sens une fatigue intense, je perds le nord, je suis foutu…. Je n’ai aucune complaisance avec ces phrases poisons. Oui, je ne suis pas responsable de mon hérédité, mais je suis tout à faire responsable des pensées négatives que j’entretiens.
A suivre.
NB: Ce texte ne viens pas de moi. Je l’ai reçu de mon papa, mon géniteur pendant que j’étais encore à l’université au Bénin.
Cédric AGOSSOU
Une bonne dose de motivation matinale.
Best regards!